20 novembre 2009
15 novembre 2009
Pourquoi refuser le mot "Dieu" ?
Il n'a pas la peste.
C'est un mot ; quelques lettres.
De quoi avez-vous peur ? Qu'y a-t-il de caché dans ces quatre lettres de si terrifiant ?...
Quel monstre inconnu, quel (mauvais) souvenir d'enfance ?
Que vous évoque-t-il, ce mot ?
Oui, je sais...
Religion, guerre, violence, fanatisme : comme les perles d'un chapelet qui s'égrène inévitablement, l'une entraînant l'autre à sa suite.
Conditionnement.
Est-ce que Dieu vous a jamais fait du mal ? Est-ce que c'est lui qui vous humiliez au Collège ?... ou est-ce que c'était les caïds de la classe ? Est-ce que c'est lui qui vous a menti sur le Père Noël... est-ce que c'était vos parents ?
Examinez votre vie ; vous verrez que "Dieu" est innocent de toutes vos souffrances. Alors pourquoi ce blocage ?
Ce refus ?
Savez-vous d'ailleurs ce que vous refusez ?...
Parfois, on jette le couteau à éplucher avec les épluchures ; parfois, on jette le bébé avec l'eau du bain. Vérifiez, au moins.
Regardez bien.
Réfléchissez.
Regardez au dessus de votre tête... ce ciel si beau, si noir ; ces étoiles si brillantes qui dessinent des constellations élégantes, repères pour les navigateurs et les voyageurs... Cette parure étincelante, ces diamants semés dans le ciel : pour quels yeux brillent-ils ?...
Et si c'était pour les vôtres ?
Et si ce beau spectacle a été mis en scène à votre intention, par qui ?
Regardez vos mains.
Regardez leur forme, leur couleur - ces mains, qui les a créées ?
Est-ce vous ?
Vos parents ?
Le hasard est-il capable de créer la plus haute technologie ? Un i-pod peut-il être fabriqué par le hasard ? Et croyez-vous vraiment que vos mains sont moins élaborées, moins sophistiquées, moins pensées qu'un i-pod ?
Et je ne parle que de ce qu'on peut voir...
Pourquoi aimer le mot "Diable" ?
Qu'a-t-il de si séduisant ?
Ah oui : Diable, rébellion, intensité, vitesse, plaisir, alcool, sexe...
Conditionnement.
Quand bien même vous lui prêteriez de jolies qualités (qu'il n'a pas), voudriez-vous lui confier vos économies ? Vous fieriez-vous à ses promesses et ses serments ?
Vous seriez bien bête.
Examinez.
Réfléchissez.
Il n'y a qu'une vie ; et ceux qui ne réfléchissent pas seront perdants.
Il n'a pas la peste.
C'est un mot ; quelques lettres.
De quoi avez-vous peur ? Qu'y a-t-il de caché dans ces quatre lettres de si terrifiant ?...
Quel monstre inconnu, quel (mauvais) souvenir d'enfance ?
Que vous évoque-t-il, ce mot ?
Oui, je sais...
Religion, guerre, violence, fanatisme : comme les perles d'un chapelet qui s'égrène inévitablement, l'une entraînant l'autre à sa suite.
Conditionnement.
Est-ce que Dieu vous a jamais fait du mal ? Est-ce que c'est lui qui vous humiliez au Collège ?... ou est-ce que c'était les caïds de la classe ? Est-ce que c'est lui qui vous a menti sur le Père Noël... est-ce que c'était vos parents ?
Examinez votre vie ; vous verrez que "Dieu" est innocent de toutes vos souffrances. Alors pourquoi ce blocage ?
Ce refus ?
Savez-vous d'ailleurs ce que vous refusez ?...
Parfois, on jette le couteau à éplucher avec les épluchures ; parfois, on jette le bébé avec l'eau du bain. Vérifiez, au moins.
Regardez bien.
Réfléchissez.
Regardez au dessus de votre tête... ce ciel si beau, si noir ; ces étoiles si brillantes qui dessinent des constellations élégantes, repères pour les navigateurs et les voyageurs... Cette parure étincelante, ces diamants semés dans le ciel : pour quels yeux brillent-ils ?...
Et si c'était pour les vôtres ?
Et si ce beau spectacle a été mis en scène à votre intention, par qui ?
Regardez vos mains.
Regardez leur forme, leur couleur - ces mains, qui les a créées ?
Est-ce vous ?
Vos parents ?
Le hasard est-il capable de créer la plus haute technologie ? Un i-pod peut-il être fabriqué par le hasard ? Et croyez-vous vraiment que vos mains sont moins élaborées, moins sophistiquées, moins pensées qu'un i-pod ?
Et je ne parle que de ce qu'on peut voir...
Pourquoi aimer le mot "Diable" ?
Qu'a-t-il de si séduisant ?
Ah oui : Diable, rébellion, intensité, vitesse, plaisir, alcool, sexe...
Conditionnement.
Quand bien même vous lui prêteriez de jolies qualités (qu'il n'a pas), voudriez-vous lui confier vos économies ? Vous fieriez-vous à ses promesses et ses serments ?
Vous seriez bien bête.
Examinez.
Réfléchissez.
Il n'y a qu'une vie ; et ceux qui ne réfléchissent pas seront perdants.
Inscription à :
Articles (Atom)